Flipette humanum est
Par Lagora, lundi 23 janvier 2006 à 20:11 :: Game shrapnels :: #215 :: rss
Bon, c'est vrai que j'ai pas posté des masses ces derniers jours, et c'est presque comme d'habitude, pour une histoire de "motivation", parce que soit je n'ai pas envie de poster une note pour dire des choses qui je le pense, ne vous intéresserait pas, soit parce que, pour peu que j'ai une chose intéressante à dire, j'ai la flemme de le faire dans un "style" suffisemment attractif.
Mais là, je suis occupé pour des trucs assez importants pour moi, qui ne se font pas aussi simplement que je le voudrais, et qui demande beaucoup de concentration et d'inspiration (j'essaye d'apprendre à mes chats à jouer au scrabble, voilà, c'est dit).
And now, for something completly different...
Mais là, je suis occupé pour des trucs assez importants pour moi, qui ne se font pas aussi simplement que je le voudrais, et qui demande beaucoup de concentration et d'inspiration (j'essaye d'apprendre à mes chats à jouer au scrabble, voilà, c'est dit).
And now, for something completly different...
Quels sont ces jeux qui m'attirent mais qui reste à bonne distance de mes mains, parce qu'ils me font quand même flipper ? Des jeux où l'ambiance est malsaine, bien souvent, et où j'hésite à avancer, le plus souvent, à l'aveuglette, avec dans comme bruit de fond, la promesse de rencontrer des créatures surement effrayantes, probablement "globalement innoffensives". Le fait est que je suis resté relativement bloqué, à l'abris, dans le bar, au tout début de Silent Hill, avant de me lancer, en me disant "Advienne que pourra, de toute façon, le quickload m'aidera". Et en y repensant, c'est quand même très con:Avoir peur en s'identifiant à un personnage virtuel, crédible certes, mais pas extraodrinairement réaliste. C'est vrai quoi ! Selon le type de jeu, on peut bien s'amuser à le voir mourir par notre propre connerie, et là, pouf, on en prend peut-être plus soin que si on était vraiment à sa place. De peser le pour et le contre, "comme si on y était": Bon, si je vais dans ce couloir, duquel j'entend des bruits quand même vachement glauque, je vais peut-être me faire décapiter... J'y vais ou pas ? Ai-je vraiment besoin de cette clé à la con, au moins ? Curieusement, pour RE4, j'y suis allé prudemment au début, mais j'ai fini par prendre pas mal de risques, tout en m'assurrant un maximum (avec un lance roquette pour les boss, oui je sais, c'est mal, mais j'assume et/ou je vous merde). Oh, je ne jouais pas mon "warrior", comme disent les djeuns (que c'est con, j'utilisais cette expression fût un temps, elle doit plus être à la mode), non, je me mettais dans un coin, pour pouvoir "oeuvrer" dans la tête des ennemis, parfois, je devais faire vite, parfois, je m'en prennais plein la tronche. Parfois encore, cette conne d'Ashley se faisait kidnapper betement, mais le plus souvent, je m'en tirais, en allant vite, en courant, pour miser sur l'effet de surprise: Plus pour moi que pour mes adversaire, car c'est bien moi que je surprend en m'aventurant dans une salle dont je ne connais pas la composition, à l'avance. Deux secondes pour découvrir la faune et la flore, puis je m'élance, esquivant les plus balèze, usant et abusant de mes armes les plus puissantes (pour ces cons de chiens, dans le labyrinthe, par exemple).
Un déclic peut me faire finir un jeu qui me faisait flipper, et pas qu'un peu. Juste en se disant que ça n'est qu'un jeu, et que je peux recommencer à tout moment.
Sinon, j'attend le film Silent Hill, en espérant qu'il sera à la hauteur des jeux. En tout cas je suis ravis de retrouver un morceau de l'OST du premier opus à la fin du trailer.
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